Signé Mathilde !
Signé Mathilde ! Deux mots-clés qui donnent le ton tout au long de cette histoire. Les péripéties s’enchaînent.les unes après les autres. Une myriade d’événements et de saynètes musicales vont bousculer chacun des personnages de ce roman, Annie, Gaufrette, Typhon, Marx et Bnf, Andy et Warhol, Luc, Federico, Gilbert, Crincrin, Simon le toubib et Léontine ! C’est pas un nom de chien !
Ferté, Thibert de la Ferté, avocat, doté d’un égotisme total et secrètement amoureux de sa boss, Clotilde Andrieu, l’unique héritière de ce bâtiment.
C’est une tradition dans l’immeuble. Tout le monde offre un petit cadeau aux autres locataires. Jamais rien de coûteux ou de trop démonstratif mais une gentille attention, une façon de dire que leur communauté de pensée se joue des exclusions qui fleurissent ces derniers temps.
Comme tous les ans, Mathilde offre le plus beau de ses cadeaux à Federico et le bel italien lui renvoie invariablement l’ascenseur. Les paris vont bon train sur une union possible mais ils ne sont pas encore remontés à leurs oreilles.
Mathilde alias Bibiche pour les intimes est d’un tempérament réservé, voire carrément timide, et ne fait rien pour que ça change. Trente ans, cuistot dans le meilleur restaurant de la ville, elle est amoureuse de Federico mais n’aura jamais le courage de faire le premier pas. Mais ça, c’était avant que Jocelyne, septuagénaire excentrique et propriétaire du petit immeuble où elle habite, recueille deux jeunes migrants, Issa et Pape. Et là, tout part en vrille. De quiproquos en coups du sort, Mathilde va se transformer en véritable tornade, enchaîner catastrophe sur catastrophe, pour devenir à son insu le bras armé de Cupidon.
Peut-on changer de vie en une seule nuit ? Avec Mathilde, tout est possible.